Parfois, il y a des histoires qui sont mieux digérer d’une façon brute. Où la totalité de l’histoire est présentée devant toi, inorganisé, mélanger, non-linéaire. Un nouvel aperçu dans une endroit où tout ce qui reste est le peu qui existe encore chez un individu qui s’est laisser derrière lui-même, oublier. Perdu dans un ensemble d’amas de ce qui reste, répéter en multiple se superposant un après l’autre. Imprimer avec un minimum de matrice, tous graver en bois. Ayant sa forme détruit et reconstruit, reformer par ce qui lui reste. Dans cet espace où des simples fragments de vie murmure la forme de cet individu, ou ce qu’il lui reste. On peut entendre le silence lourd de l’âme devant nous. Un mélange qui ne cherche pas le démêlement. Une question qui ne cherche pas de réponse. Une Lune sans Soleil, une réflexion de sa réalité déranger que par lui-même. Une vision de nous-même avant et après tout préjuger qui forme le nous d’aujourd’hui jusqu’au nous de demain. Dans la solitude de l’oubli, seulement là où les souvenirs se redécouvre. Une expérience faite pour être vécu ensemble dans le vide laisser à découvrir le peu pour se rattacher ensemble. Revoir l’âme dans sa forme plus brute pour retrouver un sens de richesse à l’expérience qui nous rend tous plus nous-même.